Wikia Forge d'encre2015
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TROIS MOIS PLUS TÔT…
 
TROIS MOIS PLUS TÔT…
   

Version du 6 octobre 2015 à 12:03

  • Nom : Seth Zorine
  • Ethique : Techno
  • Sexe : Masculin
  • Âge : 28 ans
  • Planète d'origine : ...
  • Métier : Soldat / Mercenaire
  • Descripteurs :
    • Enfant des quartiers
    • Justicier pyromane
    • (à définir selon dernière période de sa vie)
    • Criminel Sacrifiable (problème personnel)


Histoire :

Enfance


J’ai grandi dans les quartiers à côté de l’usine. Mon père tenait le bar préféré des ouvriers… un gars gentil, mais sans ambition. Très jeune, je l’aidais déjà dans pas mal de tâches, et les ouvriers aussi.Ma mère, quant à elle, a toujours été malade et passait le plus clair de son temps clouée au lit à écouter de vieux morceaux classiques terriens. Je les ai aimais beaucoup, surtout Wagner.

Adolescence

Un jour, les ouvriers ont dit qu’il faudrait cramer la baraque d’un nouveau chef d’équipe tyrannique. Ils avaient bien bu, mais moi j’ai trouvé que c’était une bonne idée… alors je l’ai vraiment fait.Ca a porté ses fruits, il a dû démissionner. Alors j’ai fait pareil avec la maison du type qui rackettait les gamins à la sortie de l’école, puis avec celle du voyeur qui espionnait les filles du quartier…Tout ça pour la justice bien sûr, et sans faire de morts. Mais bordel… le feu, c’est génial !

Crise


Un soir… ce fut le soir de trop. Je fus arrêté sur le fait par les robots policiers. Justifiant mes ‘’crimes’’ passés par un souci de justice, je fus malgré tout condamné au bagne sur l’inhospitalière Valkor. A l’aube d’un conflit frontalier, ce pénitencier devint une Légion Pénale…Ainsi donc fus-je intégré à une section de bagnards-soldats-légionnaires avec carte blanche en territoire ennemi. Et cramer des organos, c’est cool ! Ca brûle mieux que le métal…

Dernièrement

Je viens de terminer de purger ma peine, mais ne sachant pas faire grand-chose d’autre et de toute façon aimant ça, je me suis engagé à nouveau dans une compagnie de mercenaires.J’ai réalisé plusieurs escarmouches contre des groupes organos, puis je me suis retrouvé par hasard du même côté que d’anciens ennemis. Pas rancunier (car après tout, tout ça n’avait rien de personnel), je fais depuis plus ample connaissance avec eux et les apprécient.

Extraits de casier judiciaire

1- Coups et blessure avec volonté de mutiler par le feu , sur officier supérieur dans l'exercice de ses fonctions Le colonel BURNS, en mission d'infiltration dans les lignes ennemis a été attaqué , séquestré et torturé par l'accusé , Seth Zorine.

Convaincu d'avoir affaire à un agent double trahissant son camp, il a écopé d'un allongement de peine en sursis. Le général Morellion est intervenu , bajoues en avant pour témoigner en faveur de Zorine, tandis que l'amiral Sovv, lui cherchait à le faire exécuter . l'affaire fut jugé en appel aussi et reste aujourd'hui un débat polémique d'actualité sur les planètes de l'espace Friggien

2- A volé le carburant de 3 speeder pour allumer un feu de joie pour les enfants défavorisé de son quartier natal. A malheureusement mis le feu au quartier : 31 morts mais heureusement aucun enfant.

3-Refus d'obtempérer puis a abattu son officier en charge ( major Karl Van Ispec) sur Valkor après que celui-ci ait ordonné à l'escouade de détruire un convoi de civils organos. Suite à cela , a aggravé son cas en battant en retraite sans autorisation ( assimilé à de la désertion)

4-  « Mais puisque je vous dis que c'est un malentendu. Le flic me coffre et m'en une pour faire bonne mesure.C'était pourtant une belle après-midi. J'avais commencé en Cramant une supérette qui vendait de la drogue organique en sous-main.J'avais constaté également que leurs fournisseurs comme l'avait dit mon contact pillait, des entrepôts privé , pour obtenir ces produits de base. Dans le doute je l'ai cramé lui aussi, son camion et son entrepôt. Et puis ça a dérapé comme quoi j'avais cramer une équipe de jeunes de la Fondation A.B Stone, leurs camions et leurs dépôts ainsi qu'un centre de distribution et qu'un gang qui avait ramassé le quartier.  Du coup quand je sors je crame la tronche de mon indic. quand on m'embauche on ne me mitonne pas les ong c'est plus cher


Apparence :
Helghast

Armure de mercenaire

Baird

Sans casque
























FLASH-BACK

TROIS MOIS PLUS TÔT…

Nous avons tous les trois un moment d’hésitation.-       Drôle d’endroit pour un rendez-vous, commente Garfield.-       Il y a vraiment quinze hangars dans ce trou ? lance Qyburn.Quant à moi, je me contente de hausser les épaules. Il faut avouer que j’ai déjà vu plusieurs stations Ker’Rosen, dont certaines ne payaient vraiment pas de mine… mais celle-là bat vraiment tous les records. On la croirait abandonnée s’il n’y avait pas un vieux type avec une casquette aux couleurs de la compagnie de l’autre côté du comptoir.Accessoirement, c’est le seul être humain visible dans le hall, et il ne prête aucune attention à nous.-       Quelle heure est-il ? demande-je finalement.-       Très exactement 9h38, répond le mécano en consultant un des nombreux cadrans parsemant son bras droit. On doit encore trouver le hangar 15.Nous nous mettons donc en route. Une pancarte bancale et à l’inscription à moitié effacée nous informe que les hangars 10 à 20 sont vers la gauche. Le couloir n’est éclairé que par une poignée de néons agonisants, dont plusieurs ont d’ailleurs rendus l’âme définitivement. Le sol est poussiéreux, les carreaux du carrelage sont pour la plupart ébréchés et même manquants par endroits.Chouette endroit, vraiment…

Nous passons devant les hangars un par un, jusqu’à parvenir au douzième dont la porte métallique n’est même pas fermée. Même si l’intérieur est plongé dans l’obscurité, on distingue les formes d’un tas d’objets hétéroclites, comme si on les avait tous poussés là pour faire de la place ailleurs.-       Regardez-moi ça, fait Qyburn à voix haute. Si ça se trouve, il y a des trucs de valeur dans ce fatras…Je le pousse du coude pour attirer son attention :-       Tu t’en occuperas plus tard, on a de la compagnie…En effet, plus loin dans le couloir, a une trentaine de mètres, deux types sont en train de nous observer avec un air suspicieux. Il y en a un qui est très large d’épaules, et l’autre au contraire du genre maigrichon mais un peu plus grand. Une vraie réplique de Haurel et Lardy, ou quel que soit le nom de ces deux comiques de l’ancienne Terre…

Comme ils ne font pas mine de bouger, nous finissons par nous approcher. Ils sont pile devant la porte du hangar 15. Une coïncidence serait quand même un peu grosse. Il se passe bien une bonne minute pendant laquelle personne ne fait rien d’autre que se fixer sans rien dire. Je finis par en avoir marre :-       Bon, je suppose que vous aussi vous avez reçu une invitation ?-       Quel genre d’invitation ? interroge le grand maigre en plissant les yeux.-       Une liasse de crédits internationaux avec un petit mot nominatif disant de se trouver ici, aujourd’hui à 10h00 précises. Ce genre-là.-       En effet.Nouveau silence. Apparemment, ils n’ont pas l’air d’avoir plus d’idées sur l’identité du ou des types ayant ‘’envoyé’’ l’invitation en question. Nous avons tous été poussés par la curiosité… ou par l’appât du gain.Garfield jette de nouveau un œil à sa montre.-       Il sera 10h00 dans exactement dix-sept secondes.-       D’accord. Et pourquoi portez-vous un masque, au juste ? demande le type large d’épaules.Le mécano ne répond rien, car un bourdonnement a commencé à se faire entendre. Il devient de plus en plus fort, et dix-sept secondes plus tard la porte du hangar 15 commence à s’ouvrir toute seule.

A l’intérieur… pas grand-chose. Surprenant. Juste une table de projection holographique au milieu, éclairée par quelques spots. Et aussi une bestiole moche qui volette vers nous. Un genre de piaf avec des yeux de mouche et un bec très fin et très pointu. Ce machin s’approche de moi et je le chasse d’un geste :-       C’est quoi cette horreur ? m’énerve-je quand elle revient à la charge.-       Un oiseau-seringue, explique le type large d’épaules. Il cherche à faire une prise de sang, surement pour vérifier notre identité… Mieux vaut se laisser faire.En grommelant, je laisse l’oiseau-moche se poser sur mon épaule et me piquer dans le cou. Il fait de même avec les quatre autres, puis retourne vers la table holographique et y bricole quelque chose. Je vois surtout une ampoule devenir verte, et la table s’allume.Nous nous approchons tous, et au même moment la porte du hangar se referme derrière nous.L’image apparait, révélant deux personnes portant des habits clairement aristocratiques. Un homme et une femme, apparemment de même taille et ayant des traits si semblables qu’ils sont certainement frère et sœur. Je leur donnerai la trentaine, quarante ans à tout casser, mais je me souviens ensuite qu’avec ces organos les apparences sont souvent trompeuses… J’ai entendu dire que les bio-sculpteurs d’Angria étaient capables de modeler le corps de leurs clients pour les faire ressembler littéralement à n’importe qui.Donc si ça se trouve, nos deux interlocuteurs ont le double ou même le triple de leur âge apparent sans qu’on le sache. Et n’ont peut-être aucun lien de parenté non plus. C’est… perturbant.

L’homme prend la parole en premier, après nous avoir contemplés d’un œil inquisiteur.-       Bien. Je vois que vous n’êtes que cinq sur les six prévus. Tant pis, nous ferons avec… Messieurs, je ne vais pas tourner autour du pot : nous vous avons engagés pour une mission dangereuse, qui aura probablement des conséquences majeures et qui nous obligera à enfreindre de nombreuses lois et accords internationaux. Vous avez été choisis précisément parce que le danger ne vous fait pas peur… et parce qu’enfreindre les règles n’est pas un problème pour vous.La femme enchaine immédiatement, comme si elle ne faisait que poursuivre sa phrase :-       Inutile d’ajouter que cette mission devra être faite dans le plus grand secret, et que si jamais vous étiez tués ou capturés, nous nieront toute connaissance de vos actes. Si vous refusez ces conditions, partez tout de suite et nous passeront aux choses sérieuses avec les volontaires.Nos mystérieux commanditaires marquent une pause, mais personne ne bouge. Ils ont chacun en même temps un léger sourire identique, et l’homme reprend la parole :-       Excellent. Dans ce cas, voici quelques informations. Pour commencer, nous sommes…-       Oh, je sais déjà qui vous êtes, l’interrompt le type large d’épaules.Tout le monde se tourne vers lui, et il a l’air surpris comme s’il se rendait compte seulement maintenant qu’il a parlé à voix haute. Il se retrouve obligé de s’expliquer :-       Hein ? Je veux dire… vous portez les vêtements des membres du Haut Conseil des grandes familles Morelliennes, ce qui limite déjà fortement le champ des possibilités. Et quand on rajoute le fait que vous êtes de toute évidence jumeaux… j’en déduis que vous êtes Auguste et Agrippine Deborja.

Nouveau silence. Deborja ? Hé ben… même moi j’ai déjà entendu parler de cette famille. Pas parmi les plus anciennes, mais en revanche parmi les plus influentes. Ambitieuse. C’est le mot qui revient le plus souvent pour les décrire…La femme… Agrippine, donc… se tourne vers le type :-       Déduction exacte. Passons directement à la suite, alors. Il y a une semaine, un de nos navires éclaireur a capté un signal de détresse en provenance d’une zone inexplorée de la nébuleuse de Ioderia. Etant donné la puissance du signal, il est même possible qu’il émette en fait d’au-delà de la nébuleuse.Garfield lâche un sifflement admiratif :-       Ça demanderait une sacrée puissance d’émission… Quelle est la nature de ce signal, exactement ?Auguste a un geste de la main pour écarter la question :-       Ça n’a pas d’importance pour le moment. Sachez simplement que c’est un message en boucle… qui comporte la signature de Serge-Henri de la Billardier Champollion.Encore un silence.Là, par contre, je suis largué. Qui ?Demanderais plus tard…-       Je connais mal votre Histoire, intervient le grand maigre, mais cet homme n’est-il pas censé être mort depuis plus de trois millénaires et demi ?-       Si, confirme Agrippine. Raison pour laquelle nous prenons cette information avec intérêt. Cela dit, nous pensons surtout que nous ne sommes pas les seuls à nous intéresser à ce signal. Il contient notamment une mention d’un objet caché sous la Nouvelle Pierre de Rosette.-       Nous ignorons totalement quel est cet objet, enchaine Auguste. Mais s’il existe vraiment, nous devons absolument être les premiers à nous en emparer.-       C’est là que vous entrez en jeu, poursuit sa sœur. Le complexe touristique où se trouve la Pierre est gardé par des troupes de l’AMF, et il hors de question de créer une catastrophe diplomatique en causant des morts ou des dégâts importants.-       Vous allez donc devoir vous y infiltrer pour voler la Pierre, conclut Auguste. Des questions ?Leur petit numéro de « je continue la phrase de l’autre » commence à me fatiguer.-       Moi j’en ai une, fais Qyburn. Pourquoi c’est une société minière privée qui s’occupe de la sécurité d’un site touristique international ?Agrippine a une moue méprisante avant de répondre :-       Le service communication de l’AMF a estimé que ce serait une excellente publicité que d’être ainsi visible dans un endroit aussi fréquenté. Ils espèrent aussi sans doute y gagner en termes de bonne réputation…Le frère enchaine naturellement :-       Cela étant dit, vous avez de la chance. Le budget de l’AMF dédié à cette mission est limité, si bien que vous n’aurez pas à faire face à leurs brigades des Ressources Humaines. A la place, ce seront de simples intérimaires avec des contrats-blancs.

La dernière expression laisse perplexe la plus grande partie du public. Comme les Deborja ont l’air prêts à continuer sur la suite, je les interrompt pour expliquer rapidement :-       Les contrats-blancs, je connais. On appelle ça aussi les ‘’contrats-zombies’’. C’est pour des boulots de base, et de courte durée. En gros on t’injecte des nanites programmées à l’avance pour te faire faire des tâches pas bien compliquées… et pendant ce temps-là t’es en mode ‘’zombie’’ parce que les nanites prennent le pas sur tes souvenirs ou ta personnalité.-       Et c’est bien payé ? s’étonne le pilote.-       A ton avis ? réponds-je en rigolant.-       Donc en résumé… il faut accepter de sacrifier sa propre personnalité pour faire un travail bateau et le tout pour un salaire de misère ? Mais qui irait signer pour un truc pareil ?Je hausse les épaules :-       Bien il parait que la mutuelle de l’AMF est pas mal, et il y a toujours les réductions sur les billets d’entrée des mécha-arènes et des maisons noires…

Auguste me coupe la parole pour continuer :-       Qu’importe. Trois d’entre vous ont justement un passé militaire, et n’auront donc aucun problème pour se faire recruter comme intérimaire. C’est la première phase du plan. Nous allons transférer du matériel à votre vaisseau, où tout vous sera expliqué en détails. Si vous n’avez pas de questions supplémentaires, ce sera tout pour le moment.Comme personne n’en a, c’est Agrippine qui termine :-       Bonne chance, messieurs. Le Haut Conseil compte sur vous.Et la table s’éteint, nous laissant secoués par toutes ces informations.-       Qu’est-ce que vous pensez de tout ça ? finis-je par demander.-       C’est intriguant, lance le grand maigre. Mais croyez-en mon expérience, je suis certain qu’ils nous cachent des choses…